Un futur pour l’humanisme !

   Jean-Pierre WILLEM  nous propose d’effectuer un pas de côté  hors de l’overdose mas-médiatique en ouvrant le sujet d’un futur pour l’humanisme, définir ce mot tout d’abord ! Il ne s »agit pas que d’une éthique philosophique, mais d’une  » ATTENTION À  la vulnérabilité des hommes !

Cet article fait allusion à un réseau : »Retraite et Bénévolat » qui présente des perspectives d’actions locales sous des formes diverses : club, groupement d’intérêt etc …

Le REB du Nord  offre la volonté d’ une mobilisation nationale sur ce champ réflexif dont les thèmes abondent !

Définition Larousse  d’ humanisme.: « mouvement de pensée qui prend l’homme pour fin et valeur suprême et qui vise à l’épanouissement de la personne humaine et au respect de sa dignité ».

Cynthia FLEURY : ce qui ne peut nous être volé !

 » Ce qui ne peut nous être volé «  .

    La conscience de notre humanité,  Voici le ton d’une chronique philosophique de Cynthia FLEURY ici publiée par   » l’humanité « , et là viaTwitter.                                                                                       Découvrir  » l’ Université des patients.  » Devenir patientexpert.

Vers la fin programmée de l’éducation thérapeutique du patient ?                                                                                                                                              Ce titre est aussi   » le chapeau » adopté pour la séance inaugurale 3me année (2me partie) de la Chaire de Philosophie à l’ hôpital. Nous découvrons  alors dans cette offre du CNAM ( 1ere partie)  avec Antoine FENOGLIO  et Cynthia FLEURY,  des dynamiques  de conceptualisation  qui fertilisent la compréhension des relations entretenues avec notre mode de vie contemporain, en majorité urbain, industrialisé et technocrate.

Charte du Verstdholen : ce qui ne peut être volé. Gallimard

Continuer la lecture

Découvrez Soeur Emmanuelle

Découvrez l’oeuvre et la personnalité de cette femme extraordinaire !

Soeur Emmanuelle : interview inédit – l’enseignement   Turquie Tunisie Inde                                                                                    par TV5 

La fabrique des imposteurs ET des élites hautement TOXIQUES

Continuer la lecture

La vraie intelligence

     Albert JACQUARD , le Généticien et humaniste, nous parle de l ‘ intelligence, l’intelligence du coeur, en fait… Ainsi a-t-il pu dire lors d’une manifestation pour les « sans papiers  » Ce n’est pas des papiers pour tous, mais pour personne qu’il nous faut réclamer !!!

Fraternité libre

Continuer la lecture

Libérons le débat citoyen !

   Ecouter ici le billet d’humeur ♪ :

Libérons le débat citoyen !

     Tout au long des semaines terribles que nous venons de vivre, nous avons pu constzter comment, une fois de plus, les médias et politiques sont pris dans la réaction immédiate !  Nous sommes confrontés à une logique d’information calquée sur celle du marché : consummérisme et audimat ; alors qu’il faudrait avoir le courage de prendre un peu de temps pour réfléchir d’éviter les déclarations à l’emporte-pièce et les discours imprécis. Les médias doivent accepter de ne pas saturer  ainsi l’espace en permanence, de ces directs interminables où tout ce qui est dit à un moment est contredit quelques minutes plus tard ! Le besoin de communiquer, d’informer sans cesse peut avoir des effets pervers car il empêche de revenir sur la seule question qui importe.

Comment notre société a-t-elle pu enfanter de tels montres et une rupture aussi totale entre eux et nous ? Nous pensons bien sur en premier lieu banlieues, racisme, immigration, discrimination, chômage, délinquance, prison … Mais ce n’est pas tout ! Continuer la lecture

Pour un patriotisme nouveau !

  Écouter Patrick FIGEAC  ici ♪ :

        Jour après jour, il fait doux, anormalement doux ! Certes, cette douceur est étonnante mais nous en profitons car nous savons bien que le temps clément ne dure, ni n’évite les bourrasques orageuses déracinant des arbres …

   Et en ce début d’année, le climat du pays n’est pas du tout à la douceur ! Toujours traumatisés par le massacre du 13 Novembre, nous venons de commémorer le premier anniversaire des attentats de Janvier 2015. Nous avons changé d’époque. Avons-nous compris que nous allons devoir vivre désormais avec cette épée de Damocles au-dessus de nos têtes ? Pas sûr. Nous pensions qu’après le deuil et la douleur allait naître une unanimité nationale. Qu’après l’émotion partagée viendrait le temps d’une réflexion collective, sereine et contructive.

  Mais nous avons vite déchanté ! Les vieux réflexes ont repris le dessus. Nous espérions pourtant retrouver le vrai sens des mots usés pour avoir trop servis ….     Cruelle lllusion !

Que signifie donc notre tryptique républicain ? Que liberté s’exprime dans le cadre des lois de la nation, liberté d’expression comme liberté de conscience. Que l’égalité dément un privilège donné à la naissance à quelques nantis saisis par la grâce et la révélation. Que la fraternité incarne le fait que nous sommes frères et soeurs de la grande famille humaine et qu’il ne peut exister d’un côté les croyants et de l’autre les impies.  Continuer la lecture

Égalité et respect mutuel en éducation : c’est urgent !!!

     Les graines démocratiques semées dans l’antiquité grecque sont vivaces,  l’EUDEC fédère les initiatives européeennes pour une éducation démocratique.

EUDEC

En France, proche de Dijon, l’école de la croisée des chemins vous invite à cette découverte, des  initiatives oeuvrent dans le même sens un peu partout …

Exemple avec ce blog : Crée ton monde 

     D’autres actions aux États Unis, en  Afrique,  en Inde etc  .. prouvent que l’avenir est en marche au présent, sachons tisser des réseaux  égalitaires et respectueux !!  …

Attention au sens des mots !

À écouter ici :  Attention au sens des mots !

   Attention au sens des mots.

         Que faire avec Dieudonné ? Interdire, c’est le renforcer, affirment les uns. Ne pas réagir, c’est encourager la haine, répliquent les autres. Il faut bien reconnaître que tout le monde a raison, il n’existe pas, en démocratie, de science exacte pour départager les inconvénients de la liberté et ceux de la censure.

      Nous ne savons pas si nous souffrons d’un excès de la première ou si nous étouffons sous la férule de la seconde ! Nous pestons le matin parce que «nous ne pouvons plus rien dire»  et nous nous alarmons le soir de la « libération de la parole ». Il existe toute une série de sujets sur lesquels tout point de vue qui s’écarte de la norme en vigueur peut valoir à son auteur les foudres du tribunal médiatique. Ainsi, vous protestez contre l’interdiction du tabac, vous êtes assimilé à un agent appointé du monde cigarettier, partisan des flux migratoires, vous êtes forcément raciste, contre l’abolition de la prostitution, vous voilà « facho ».

        Résultat : pendant que notre cerveau gauche surveille la moindre de nos pensées, notre cerveau droit nous murmure que la transgression est un droit de l’homme, la provocation, un devoir moral, la dérision, l’arme du faible ou prétendu tel. par la magie d’Internet et des réseaux sociaux, chacun peut désormais s’attacher aux tabous qui lui gâchent le vie , ce qui consiste souvent à déverser sa haine ou son mépris pour telle ou telle catégorie de nos contemporains. Notre époque produit malheureusement plus de Dieudonné que de Galilée.
« Rien n’est à moi, tout est tabou » fredonnent en choeur les partisans de l’ex-humoriste. C’est bien simple, nous n’avons jamais autant entendu parler de tabou depuis qu’il n’y en a plus. Et si nous avons l’impression d’en transgresser un, c’est aussitôt pour en recréer de nouveaux. Comme par effet de compensation. Voilà pourquoi nulle société ne peut se fixer comme objectif la liquidation de tous les tabous sans prendre le risque de s’épuiser elle-même dans cette course. Celui qui ne tire pas les leçons du passé est condamné à les revivre.

      Poser la question de la liberté de la pensée, c’est poser le principe des limites dans lesquelles nous nous construisons au fil de nos rencontres, de nos actes, de nos lectures.
A l’inverse de la dictature ou du totalitarisme qui reposent sur l’indéfini, l’ignorance, la négation des limites.
La démocratie impose de savoir de quoi nous parlons et, surtout, de s’accorder sur le sens des mots. Maintenir un interdit sur certaines opinions, les condamner dans le cadre de la loi quand elles sont prononcées dans l’espace public, ce n’est pas rétablir l’enfer, c’est, au contraire, libérer notre avenir d’un scénario infernal : la banalisation de mots qui déchirerait la fine particule du monde humain.