Réflexions et débat

      » Les INVISIBLES « 

      Maîeutique ou débat réglé, outils de sociocratie etc … etc …   Voici un petit salon de méditations …

Réflexion-témoignage d’un lanceur d’alerte réhabilité : Sefran  – Franc SERRE.

 » On n’est jamais gagnant de ce genre d’expérience qui nous montre le négatif de cette inhumanité parasitaire. On est juste un peu plus grand en soi, en expérience et en philosophie de la vie. C’est vrai que seul le combat, parfois dans ces formes les plus extrêmes, sont la victoire des opprimés et des discriminés.
Mais pour l’instant avec ces fous aux pouvoirs sociaux et dans nos bureaucraties on risque de vivre des moments bien plus terribles… (modifié)

Tous mes écrits sont open source et dans le partage en ce sens.  Si cela peux amener une perle de sagesse et d’humanité …  »

Douze années de calvaire :    » Après les avoir menacé d’un suicide sur mon lieu de travail, et surtout pour eux du risque d’une enquête policière suite à mon suicide sur le sujet au TGI (avec toutes les preuves que j’ai balancé un peu partout dans internet, merci à vous, médiapart et autres), ils m’ont enfin (12 ans après) mis sur une vraie activité d’ingénieur informatique (comme quoi quand on veut on peut) !!!
Et pendant mon arrêt de travail, le directeur mafieux qui me harcelait est parti à la retraite.

Et à mon retour toutes les langues managériales se sont déliées (c’est vrai que l’on me harcelait et qu’ils étaient malhonnêtes tous ces directeurs).
Cela montre aussi le courage et la responsabilité qu’ils prennent nos managers (ce sont des moutons sans personnalité).
Mais pour le dire honnêtement, je me sens comme une femme violée. Tout le monde t’accuse alors que tu es une victime, c’est pas normal qu’ils ne soient pas sanctionnés alors que c’est du pénal.
       Et le pire c’est qu’encore il y a des collègues qui passent dans ton bureau pour te faire la morale en t’accusant d’être responsable de t’être fait violer. Tout cela pour se disculper soit même d’avoir été des complices des violeurs…
J’avais peur d’être dépassé techniquement (12 ans x 2 = 24 ans en informatique), mais comme j’ai su bien gérer ma mise au placard avec une auto formation suivant ma compréhension de l’évolution technologique (développement open source, documentation ubuntu française et mise au point d’un cours Python), je ne suis pas dépassé.
Seul le poste de travail windows avec ses outils est une merde pour moi. Et un outils de mauvaise qualité pour travailler (cela ne vaut pas la bureautique Linux) c’est un mauvais ouvrier.
            Si je m’étais rattaché qu’à leurs formations, qui étaient là pour faire croire que j’avais tout à apprendre (comme pour eux je n’était plus compétant pour justifier mon harcèlement), je serai détruit professionnellement.  »
19 octobre 2022

****************

     Ici des message contributifs aux projets en commun  et à la régulation collective:

                  à quand la CRÉATION d’un CONSEIL DES SAGES ??

…………                  …………….                 ……………..                   …………..

@here Au revoir ici, salut une bande, voilà plusieurs semaines, même plusieurs mois, que je me demande pourquoi nous n’y arrivons pas aussi bien que nous l’aimerions. Nous essuyons des rancœurs et je n’ai aucune explication tangible. J’en ai vraiment assez de lire des torrents de vomi sans argumentation et pourtant ce n’est pas la première fois que ça arrive. Nombreux sont ceux qui sont partis avec fracas. D’autres dans le silence le plus total. Si on ne se pose pas la question du pourquoi alors nous sommes dans le déni. Le problème est que je suis dans cette interrogation mais je ne vois pas les raisons. Est-ce que les gens ont uniquement besoin de parler d’eux ? A l’évidence oui. Est-ce que nous ne sommes pas assez à l’écoute ? Probablement. Agissons-nous comme des « proprio » malhonnêtes ? Non bien sûr, mais ce n’est pas le ressenti général. Je ne sais pas lire dans le marc de café et encore moins dans le vomi et donc je suis face à un mur. Je ne suis pas sur Canal Concorde pour affronter ça parce que c’est à l’opposé de mes visions collectives. Pourtant ce « ça » existe, il est fréquent et pesant. Je refuse aussi de dire que ces personnes ont tort et que j’ai raison, ce serait totalement stupide. Mais comme elles n’apportent aucun argument pour justifier ce mal être et que de mon côté je ne sais pas l’expliquer non plus, je me dis que j’en suis certainement une partie de la cause, ne serait-ce qu’infime. Ces procédés finissent par te laisser croire que tu es fautif. C’est à la limite du supportable. Je le vis comme de la malhonnêteté.

  >   Les accords Toltèques : ne rien prendre de façon personnelle ; peuvent nous guérir de cette culpabilité égoïque, celle-ci n’étant que le « remaque  » des projections et injustices subies lorsque nous étions enfant, démunis et sans défense …

Effectivement, il existe une violence à transcender ce qui ne passe pas seulement par   » le récit de soi « , concept développé par Boris Cyrulnick.

Le « bouc émissaire » : le  Vilain petit canard, est-il pareil que mouton noir évoqué par Ghys?

L’idolâtrie  du héros comme idéal de masse ne peut que produire un objet défouloir canalisateur des frustrations et violences engendrées par le culte de l’élitisme,  hélas corrélé à celui de l’humiliation !

message de Karto

– Je le rappelle à toutes fins utiles, Canal Concorde a pour but de relier les gens par le biais de l’éducation populaire. Rien de plus et c’est déjà très ambitieux. Personne n’est là pour tirer la couverture à lui. Nous ne sommes pas là non plus pour faire du fric. Avec ces quelques règles je pensais qu’on s’en sortirait mieux que beaucoup d’autres. Hélas c’est presque le contraire qui se produit. Qui me trouve antisémite, qui me trouve sexiste, qui me trouve……. Vous avez eu raison de moi et, comme moi, pourtant vous savez que vous êtes dans l’interprétation, le mensonge et l’agressivité gratuite. @here Tu as compris, je vais arrêter et cette fois c’est pour de bon. Je ne suis pas assez fin psychologue pour lire dans le non-dit, plus assez patient pour tenir un confessionnal ou un bureau des pleurs et trop focus sur l’efficacité de ce que j’attends de notre démarche pour faire preuve de consentement. Il n’y a pas de résultat satisfaisant et si c’est pour parler pendant des jours et des jours de consensus alors je sais que je vais y perdre mon temps. Par contre nous aurons fait un sacré chemin ensemble, une bande et moi, c’est une de mes satisfactions avec aussi le plaisir de quelques belles rencontres improbables. C’était vachement bien en fait. Merci une bande, salut les amis. «