La dictée à l ‘école

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La dictée quotidienne en question

        L’école renforce les dispositions, les capacités dont les élèves sont porteurs en y entrant. De fait, quand les modes de socialisation familiale sont très proches de la socialisation scolaire le système est efficace. Quand ce n’est pas le cas, il amplifie au contraire les inégalités. Le coeur des difficultés à l’école se situe en particulier au niveau de la maîtrise du langage. Certains parents construisent avec leurs enfants un rapport au langage et au monde qui favorise le lien entre objet conceptuel et objet matériel et qui repose sur un questionnement permanent. On s’approprie d’autant mieux les savoirs qu’ils apportent des réponses aux questions que nous nous posons. Or, c’est la langue qui justement permet et favorise cette médiation. Mais l’école a une conception univoque de la langue, parfois très figée qui ne prédispose pas toujours à la construction de cette mobilité. Continuer la lecture

La réforme de l’orthographe

     Écouter Patrick nous parler de la réforme de l’orhographe (  accents?)  ici ♪ :

 

Ainsi que dans le magazine « Paroles «  des 4 Ateliers le Mercredi matin sur Radio4

Ce 10 Février 2016,  écouter un interview de  Philippe DERUDDER 

Jeu de l’oie pour travailler l ‘orthographe

    Un jeu de l’oie pour travailler l’orthographe ?
L’orthographe, c’est simple en s’amusant ; un jeu de l’oie propose un parcours ludique utilisable du CM1 à la cinquième.( 8 à 13 ans ).

Consulter notre page dédiée à « Apprendre à éduquer «  ici !!

La twictée, c’est motivant !!

Travailler l’orthographe de manière active et collaborative avec la twictée !

Tout sur la twictée  en  direct par la  méthode hangout

en BD, Fonctionnement, objectifs, balises etc..

exemple : les twoutils  ( règles orthographiques)

Le babouin de Guinée, un être doué pour l’orthographe !

Par Hervé MORIN-

Article paru dans LE MONDE SCIENCE ET TECHNO-13/04/2012

      « Cela montre qu’il n’est pas nécessaire d’avoir des connaissances linguistiques pour acquérir des facultés de codage orthographique », résume Jonathan Grainger.

       Cela renforce l’hypothèse selon laquelle la lecture s’appuie sur le recyclage de circuits cérébraux forgés bien avant l’avènement d’Homo sapiens avancée par Stanislas Dehaene (Collège de France).

             « Ce travail est très remarquable, indique ce dernier. Il est fondamental que nous parvenions à une meilleure connaissance des mécanismes neuronaux de la lecture, tant pour faciliter son apprentissage que pour comprendre et mieux aider les enfants dyslexiques. L’imagerie cérébrale peut beaucoup, mais les détails les plus fins du code neural nous échappent. L’arrivée d’un modèle animal d’une partie des opérations de lecture pourrait changer la donne. »