Changer VRAIMENT de regard sur l’école !

Invitation à lire cet excellent article de Nicole GENEIX :

 » Il faut vraiment changer de regard sur l’école « 

Celle-ci n’est pas « un champ de ruines  » … même si 20% des élèves sortant du primaire ne maîtrisent pas les fondamentaux du « lire, écrire, compter « .

C’est d’autant plus l’affaire de tous et de tout un chacun !!

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Le collectif : école, changer de cap !!…

Crise de l’école. Treize Transformations nécessaires et possibles…

Vous découvrirez sur ce site André Giordan, André de Peretti, ATD quart-monde et  bien d’autres  …

et d’excellentes raisons de cultiver espoir et enthousiasme !…

Extraits de l’ouvrage du « Collectif École changer de cap » (pages 16 à 36)  » Donner toute sa chance à l’école.Treize transformations nécessaires et possibles… » Éditions Chronique sociale, juin 2011 (96 pages, 5 euros, en librairie ou chez l’éditeur).

« La planète brûle et ils regardent ailleurs ».

       Gouverner, c’est prévoir, choisir et expliquer. Surtout quand les défis sont complexes et à long terme. Au préalable, il faut être élu et, pour cela se livrer à un tout autre exercice : séduire, promettre, simplifier. Et faire miroiter des lendemains qui chantent.

        Redoutable contradiction. En 2007, c’est l’endettement du pays qui avait été ignoré. Les rêves immédiats avaient  balayé les risques alors jugés trop lointains et dont on mesure maintenant combien ils étaient imminents !

         Aujourd’hui, c’est l’écologie, pour simplifier, la préservation d’une planète vivante et vivable qui est tombée dans ce trou noir, comme sortie du radar politique, rayée de l’enjeu majeurs des prochaines décennies.

         Cette cécité est stupéfiante, ou plutôt cette occultation confondante, si l’on veut bien se rappeler un instant , les avertissements lancés de tous côtés, sans cesse plus nombreux et argumentés. Pas un mois ou presque sans qu’une étude scientifique pointe tel ou tel dérèglement progressif, insistant et, au bout du compte, inquiétant ! 
         Les principales formations politiques n’ont pas intégré la nouvelle contrainte écologique. Tous les signaux sont au rouge : le climat, la biodiversité, l’état des océans. Tous les rapports nous disent combien le coût de l’inaction va être préjudiciable à nos économies. Ce que nous observons est sans commune mesure avec ce que nos sociétés ont connu jusqu’à présent. Nous n’en avons pas pris suffisamment conscience. La conversion n’a pas eu lieu. Nos politiques sont dans un tel désarroi qu’ils peinent à proposer des réponses tangibles, concrètes, efficaces.

          Le dénominateur commun à toutes les crises que nous connaissons est notre incapacité à nous fixer des limites. Les enjeux écologiques doivent transgresser les clivages idéologiques.La gauche seule ou la droite seule n’y arriveront pas. Il existe pourtant une alternative : la croissance sélective. Il s’agit d’identifier les secteurs que nous avons besoins de développer : les énergies renouvelables, l’isolation des bâtiments, ceux qui doivent prendre en compte les limites des stocks naturels par exemple la pêche et ceux enfin dont il nous faut sortir parce qu’ils ont un impact trop lourd, comme les énergies fossiles.

          Le préalable est de redonner de l’air aux Etats paralysés par la dette. Les banques centrales doivent pouvoir prêter aux états à un taux quasiment nul pour financer ces investissements d’avenir.

           Et puis, nous avons la fiscalité avec un double objectif. D’abord la solidarité : capter de l’argent et le redistribuer. Le second est la régulation : basculer tout ou  partie de nos prélèvements, sur ce qui peut sauvegarder la planète, les ressources naturelles et alléger les charges qui pèsent sur le travail. C’est ainsi que nous pourrons structurer l’économie de demain  …

 » Gouverner, c’est choisir, si difficiles que soient les choix. Celà suppose une démocratie adulte et du courage chez ceux qui entendent l’incarner. »

    Pour l’heure, hélas, l’une et l’autre font par trop défaut !!

Mieux connaître l’autisme ; côté Portail du Gouvernement …

      La journée Mondiale de sensibilisation à l’autisme le 2 Avril.

Une personne  sur 150 serait  autiste   … dans le monde ?

Difficile à dénombrer ! A fortiori à l’échelle planétaire avec les conditions sanitaires que l’on sait accompagnant les pays pauvres, à forte natalité !!…  Pourtant, il est primordial qu’un diagnostic précoce soit établi pour réagir de manière adaptée…

Et dans les pays riches, leur nombre va croissant c’est certain !…

Vous découvrirez par ce lien :

logo marianne

 

–   le bilan du plan autisme 2008-2011,

– les sites de :

  • Autisme France,
  • Autisme sans frontières,
  • Autisme Infantile
  • La Haute Autorité de la Santé

 

 

N’oublions pas les bons profs !

         Cet ouvrage de Nicolas Mascret  paru aux éditions Anne Carrière rend hommage à ces enseignants qui laissent un souvenir impérissable à leurs élèves !

Rares sans doute, mais oh combien précieux !

Le pédo­psy­chiatre Marcel Rufo  insiste sur l’importance de l’enseignant dans la construc­tion de l’enfant et de l’adolescent. Selon lui, le prof apporte à ses élèves « une trace de vie, une trace pour la vie ».