Écouter ici le billet d’humeur : avis de tempête sociale !
Le défilé du premier Mai dans la capitale a été éclipsé par les débordements qui ont eu lieu en marge de la manifestation. Les médias se sont alors immédiatement emparés de ces hyperviolences et n’ont parlé pendant plusieurs jours que de magasins détruits, d’abrisbus saccagés. Du coup, les rassemblements citoyens n’intéressaient pluis personne et pourtant ! Un profond désarroi monte du tréfonds du pays et c’est de cette colère qu’il aurait fallu écouter et lui faire écho !