Vain déni et  » Accords toltèques  » appliqués aux enfants !

LE DÉNI NE SERT À RIEN !!!  avec   » Vous, nous, ils »  * :  de l’humour …  au Bac !

depuis 2013  (extrait en fin) …  L’ article alertant sur 3 millions d’enfants pauvres en France  a disparu de ce  site  * ;  mais tellement visibles que banalisées   sont les preuves et les résultats de l’accroissement de la PAUVRETÉ !! 

…. Tandis que le phénomène de l’enrichissement infini sur   une planète finie   nous  ASSOIFFE,  nous ÉTOUFFE , nous   ENTERRE  d’ AVANCE    !!!!!    🤔     🤔       🤔

Dr Luc BODIN : Ne LUTTEZ PAS contre le système !

CULTIVONS   nos JARDINS  extérieurs, des caves aux toits en passant par les balcons, les arbres etc …sans oublier celui de notre intériorité !!  

Sommet de la réussite : découvrir des témoignages inspirants !

Le  plastique  c’est TRAGIQUE !  ( Fr Inter : « affaire sensible »)

Olivier CLERC a traduit  les  4 + 1  * « Accords Toltèques« : pratiquer                                     une chevalerie relationnelle  … Et transcender les écarts générationnels  avec  les

Enfants  Toltèques   ( Amazone)

Adopter un mode de vie en harmonie avec soi-même et les autres commence par  s’éduquer à la CONSCIENCE de Soi !

avec  Olivier CLERC, d’ inspirantes métaphores  ! (En voici quelques-unes de sa newsletter )

  •  Dans de nombreux contes se déroulant dans quelque lointain royaume, on voit le roi confier son fils à un couple de gens simples – fermiers ou artisans – qui l’élèvent dans l’ignorance de ses origines royales, de l’héritage qui sera un jour le sien et des hautes fonctions qui l’attendent. Ce n’est qu’à sa maturité que tout cela lui est révélé et qu’il peut prendre la place qui lui revient.

Sous forme métaphorique, ces contes nous parlent de nous. Le roi représente notre soi divin. Le fils arraché à son royaume et confié à des gens du peuple, c’est l’ego, le moi incarné. Comme lui, nous grandissons en ignorant notre véritable origine (spirituelle). Nous nous identifions au milieu où nous vivons. Mais comme lui, si nous œuvrons aussi à grandir intérieurement, comme nous y invitent toutes les traditions spirituelles, nous atteignons un jour notre maturité spirituelle : notre filiation authentique nous est alors révélée et nous héritons de trésors inestimables : amour, sagesse, force…

       Quand on est victime d’une agression entraînant une blessure physique, si elle est superficielle, le corps est capable de guérir tout seul. Si elle est plus profonde, on va voir un médecin pour se faire soigner. On n’attend pas que ce soit notre agresseur qui le fasse.

Il en va de même des blessures du cœur. On peut en guérir seul ou avec l’aide d’un tiers. Ne croyez pas que c’est la personne qui vous a blessé qui doive vous soigner. Tant qu’elle n’a pas demandé pardon, qu’elle n’a pas réparé ses torts, il vous faudrait rester passivement à souffrir ? Ce n’est pas vrai.

Le pardon est la guérison des blessures du cœur. Il ne dépend que de nous. On peut atteindre le pardon et retrouver son intégrité, et en même temps demander justice, réparation. Mais avec le cœur en paix. Ce sont des choses différentes. Le savoir permet à la fois de tout pardonner… et de ne rien laisser passer !   Vivre le pardon

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* extrait :  »  Urgence à agir pour les 3 millions d’enfants pauvres en France  »  publiait ce magazine pédagogique : extrait  « Vous nous ils  » en 2013 !!!! Les jeunes Adultes d’ aujourd’hui ! Le Conseil natio­nal des poli­tiques de lutte contre la pau­vreté et l’exclusion sociale (CNLE) estime qu’il y a « urgence à agir » pour les quelque trois mil­lions d’enfants pauvres, dans un avis sur leur « situa­tion alar­mante » publié lundi.
« La pau­vreté aug­mente en France depuis 2008 et sa pro­gres­sion affecte davan­tage les enfants », sou­ligne le CNLE, com­posé de repré­sen­tants des minis­tères, élus, orga­nismes et asso­cia­tions, syn­di­cats et per­son­na­li­tés qualifiées.
En France métro­po­li­taine, 2,665 mil­lions d’enfants (19,6% de la popu­la­tion des moins de 18 ans, soit un enfant sur cinq), vivaient dans une famille pauvre en 2010. Et « on peut craindre que le nombre d’enfants pauvres en France ne soit plus proche de trois mil­lions »